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Parce que ça goûte bon même quand ça cause le cancer
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Sudbury ou un petit goût de soufre sucré
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Exode-départ d'une partie de moi-même, je sors d'une phase de ma vie. Exode-fin d'un « je « qui a passé le flambeau à un autre. Un idéal qu'il chérissait lui paraît aujourd'hui sans intérêt. Il se demande s’il se définissait autrefois à partir de cet idéal. Il ignore s’il lui faudra le remplacer par un autre afin de retrouver une certaine intégrité, afin de retrouver toutes ses parties, afin de sortir du cafard qu’a entrainé cet exode. Est-ce que le cynisme peut suppléer à cette absence ? Est-ce que le rejet du principe selon lequel la vérité existe peut devenir le fondement d’un nouveau moi. Probablement. Le cynisme rassure. Il peut nous définir. Il est possible de se complaire en son sein. Il peut même donner l’impression d’être intelligent. « Mais oui, vous savez, si j’ai perdu toutes mes illusions, c’est que, moi, j’ai compris. Que vous êtes donc naïfs » ! On n’a même pas besoin d’être cultivé pour goûter à cette « sagesse ». Donc, voilà ! Eureka ! Je serai, je suis cynique. J’ai mis la main sur un signifiant qui me servira d’étiquette afin de continuer, de m’orienter. Une étiquette à défaut d’une éthique.
RépondreEffacercynique, cynic, cyniq, cynik,cinique, cinic, cinik, ciniq, synique, synic, syniq, synik, sinique, sinic, sinik, siniq, si nic, si nique, ci nic, cy nik, signique, signe nik, skjfique, cnyiuqe, C%?!que, ...
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