À quel moment précis Sudbury est-elle passée de l’invisible au mythique ? Il n’y a peut-être jamais eu de moment ? Il n’y a peut-être pas de distinction à faire entre ces deux états d’être ? L’invisibilité, comme le mythe, relève de l’imaginaire. Sudbury est plus invisible quand on y est que lorsqu’on la quitte ou qu’on n'y a jamais mis les pieds. C’est peut-être cette double identité que me plaît. Chez-nous, je suis. Ailleurs, je désire.
C’est dur à porter un mythe, mais c’est franchement plus stimulant qu’un prêt-à-porter.
Daniel Bélanger était de passage à Sudbury pendant le Festival Boréal en juillet dernier. Si ça vous tente, allez donc lire ses impressions dans son carnet.
jeudi 14 août 2008
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