mercredi 28 octobre 2009

Un peu de soleil pour sécher un souvenir humide

Le matin brumeux s’est décomposé dans ma tête. Il y a maintenant un peu de soleil qui sèche l’humidité du souvenir. J’ai l’impression aujourd’hui de trouver un peu de pureté sur la ligne entre le rêve et la réalité, un peu d’espoir entre l’erreur et les terres oubliés. Je n’ai plus le goût d’utiliser des moyens pour en arriver à une fin. Je moyenne pour moyenner. C'est bien assez.

2 commentaires:

  1. J'imagine un monde où il serait possible d'éliminer la ligne, le trajet, la distance entre le rêve et la réalité. Un monde où l'on pourrait amalgamer ces deux états d'âme, comme l'a peut-être d'ailleurs fait Kafka. Je me dis que je plonge au sein de cet amalgame, que je m'y endors. Bonne nuit.

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  2. ... Mais si on élimine la ligne, le rêve devient-il réalité ou la réalité, le rêve?

    Merci, Anonyme

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