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vendredi 9 octobre 2009
Duel des super poètes dans le Sudbury Glam-Tunnel
Du cutting-edge performance à la sudburoise.
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vendredi 19 septembre 2008
If you can’t make it out West, make it in Sudbury!

Une de mes collègues de travail a quitté Winnipeg il y a un an pour venir s’établir avec son conjoint dans la région. Les deux travaillent à Sudbury et vivent le reste du temps en campagne, au bord de la Rivière-des-Français, à cinq minutes d’Alban. La rivière forme une baie à l’endroit. L’eau est bonne et il n’y a pas de serpents. Ils se sont offerts le cadeau d’une vue guérisseuse de tous maux, en posant, dès prise de possession, une fenêtre panoramique dans le salon. J’y ai passé un weekend récemment.
Le vendredi soir, autour d’une bonne bouffe carnivore, rouge et saignante de chez Tarini Bros (1055, rue Lorne, 673-6167), nous avons discuté Sudbury. C’est un bon sujet de conversation, je vous le jure!, même si vous venez d’ailleurs.
La technique d’amorçage est simple. Interrompez la discussion de vos amis qui, autour d’une salade, parlent du sujet de l’heure dont tout le monde parle sans oser dire que c’est sans intérêt, et posez cette simple question : « Qui veut m’accompagner à Sudbury le weekend prochain? »
Le vendredi soir, autour d’une bonne bouffe carnivore, rouge et saignante de chez Tarini Bros (1055, rue Lorne, 673-6167), nous avons discuté Sudbury. C’est un bon sujet de conversation, je vous le jure!, même si vous venez d’ailleurs.
La technique d’amorçage est simple. Interrompez la discussion de vos amis qui, autour d’une salade, parlent du sujet de l’heure dont tout le monde parle sans oser dire que c’est sans intérêt, et posez cette simple question : « Qui veut m’accompagner à Sudbury le weekend prochain? »
Trop simple.
Bref, ce soir-là, sur le bord de la Rivière-des-Français, en mâchant mon bon gros morceau de steak, je demande aux ex-winnipegois s’ils avaient choisi Sudbury ou si c’était la maudite vilaine qui les avait tirés de force vers elle.
« Un choix. Un deuxième choix, en fait», me répondirent-ils, simplement. N’ayant rien trouvé d’abordable dans l’Ouest qui répondait à leur goût quotidien de l’urbain et du sauvage, ils se sont tout naturellement tournés vers Sudbury
Trop évident...
mardi 9 septembre 2008
J'aurais voulu être une Alain Harvey
Si vous vivez à Sudbury et que vous ne connaissez pas encore Alain Harvey, c’est qu’on ne vous a pas encore expliqué le lien généalogique qui vous lie à lui. Croyez-moi, il y en a un et on le trouvera, quelque part entre Moosonee et Delhi. L’existence d’un monde alors insoupçonné vous sera révélé.
Alain Harvey, c’est LE personnage de la ville. Si Fred Pellerin était né à Sudbury, Alain Harvey serait sa muse.
De passage dans la minière? Tentez de trouver Alain Harvey. Ça ne devrait pas être trop compliqué et l’expérience sera franchement plus enrichissante qu’une visite à Science Nord.
Lorsque la Sulfureuse aura l’audace de vous présenter son premier film, il s’intitulera « J’aurais voulu être une Alain Harvey », parce qu’elle rêve qu’on lui dédicace, à elle aussi, un poème.
À suivre...
Hanmer bowling blues
(pour Alain Harvey)
J’oublie tout ce que
je connais
tout ce que
j’ai connu et
je recommence
nu comme
une larve
habillée
en monde.
Assis là
comme une
boule de quilles
que personne ne veut
assis là
tout rond
tout neuf
tout plein
de trous.
Partrice Desbiens, Hennissements (Prise de parole, 2002), p. 91.
Alain Harvey, c’est LE personnage de la ville. Si Fred Pellerin était né à Sudbury, Alain Harvey serait sa muse.
De passage dans la minière? Tentez de trouver Alain Harvey. Ça ne devrait pas être trop compliqué et l’expérience sera franchement plus enrichissante qu’une visite à Science Nord.
Lorsque la Sulfureuse aura l’audace de vous présenter son premier film, il s’intitulera « J’aurais voulu être une Alain Harvey », parce qu’elle rêve qu’on lui dédicace, à elle aussi, un poème.
À suivre...
Hanmer bowling blues
(pour Alain Harvey)
J’oublie tout ce que
je connais
tout ce que
j’ai connu et
je recommence
nu comme
une larve
habillée
en monde.
Assis là
comme une
boule de quilles
que personne ne veut
assis là
tout rond
tout neuf
tout plein
de trous.
Partrice Desbiens, Hennissements (Prise de parole, 2002), p. 91.
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