Souvent (et je l'oublie), un poème de Patrice fait l'affaire:
Je me trouve
dans un autobus
de la ville et
c'est l'autobus
université-sanatorium
et il est bondé et
je suis bandé comme
un bûcheron sous mes
combines cosmiques
On se bouscule
on se majuscule et
se minuscule tandis que
derrière moi,
une Franco-Ontarienne dit à
une autre Franco-Ontarienne:
« Tu sais, il y a du monde
qui sont vraiment pas
considérables… »
Patrice Desbiens, Poèmes anglais (Prise de parole, 1988)
Merci d'avoir venu sur mon blogue (tournure empruntée d'une mariée qu'a connu NR).
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