
C’est le livre que j’ai décidé de relâcher en France. Il s’approche de toi, Titus. Si ça souffle chez vous comme à Sudbury aujourd'hui, tu verras un bouquin atterrir sur ton perron dans les prochaines minutes.
Un vent se lève qui éparpille de Jean Marc Dalpé est l’un des rares que je relis religieusement une fois par an, à l’automne préférablement, parce que j’y retrouve la tristesse silencieuse qui teinte mon bonheur temporaire chaque fois que je retourne chez moi. Ça fait du bien.
Puis il y a les mots chaos, le rythme qui fait dans ma bouche.
Aura-t-il le même effet dans une bouche française?
Sudbury ou un petit goût de soufre sucré, comme d’habitude, a écrit un mot d'aurevoir dans son livre. Elle vous le révélera lorsqu'elle recevra confirmation que son Vent aura traversé sans naufrage l’Atlantique.
Bonne lecture!
Un vent se lève qui éparpille de Jean Marc Dalpé est l’un des rares que je relis religieusement une fois par an, à l’automne préférablement, parce que j’y retrouve la tristesse silencieuse qui teinte mon bonheur temporaire chaque fois que je retourne chez moi. Ça fait du bien.
Puis il y a les mots chaos, le rythme qui fait dans ma bouche.
Aura-t-il le même effet dans une bouche française?
Sudbury ou un petit goût de soufre sucré, comme d’habitude, a écrit un mot d'aurevoir dans son livre. Elle vous le révélera lorsqu'elle recevra confirmation que son Vent aura traversé sans naufrage l’Atlantique.
Bonne lecture!
P.S.: Je viens d'apprendre que Jean Marc Dalpé est en nomination aux Prix littéraires du gouverneur général, encore, cette année. C'est un pur hasard, je vous le jure.